Au-delà de 6 x 6, on peut dire que c’est du poids néfaste, à fortiori sur les grands modèles où les baguettes forcissent, alors qu’il est aisé de réaliser des baguettes en T ou en équerre, simplement par construction, en assemblant deux flancs avec un dessus et un dessous par exemple sans dépasser 6 mm d’épaisseur, ce qui donnerait déjà du 24 x 6 assemblé en T ou en équerre, soit un équivalent 20 x 20 environ !
Surtout en bois dur, il n’y aurait pas photo…
Pour un avion de 1,50 m des baguettes de 2 x 8 et 2 x 6 assemblées en équerre donneraient 8 x 8 en équerre, soit un équivalent 6 x 6 (type Baron) extrapolable en 3 x 12, 4 x 16 etc. Ce qui, pour un Baron de 3,20 m serait suffisant, plus facile à travailler, et surtout moins lourd.
En cas de réparations, ce serait aussi plus facile, avec une baguette collée dans l’angle, ou un jonc de carbone… Ce serait, au moins pour moi, aussi plus intéressant à concevoir et appliquer (même à un plan existant), car il y aurait beaucoup à gagner…
Au-delà, tout compte, ne pas surdimensionner le moteur, le réservoir (ou les batteries), les servos la radio, toutes les tringleries (à ce propos les câbles en aller/retour sont plus légers et plus efficaces), mais aussi les guignols, et tout l’accastillage (d’ailleurs il vaut mieux souvent les réaliser soi même, comme les guignols en epoxy 10 ou 15/10)
Le multi longeron, même petit et sous un coffrage, et toujours préférable au longeron unique ! La souplesse évolutive d’une aile ou même d’un longeron est toujours préférable à la rigidité. Cette souplesse ne doit pas pour autant dépasser les limites d’élasticité, ni engendrer des phénomènes de « Flutter » par un compromis hatif entre l’aérodynamique et l’élasticité (phénomène de résonnance), qui peut se révéler dévastateur (jusqu’à la perte de gouvernes ou de morceaux d’ailes, et ça m’est arrivé) !
Bien sûr à partir de cette réflexion, et de ces expériences, chacun l’interprètera comme il le voudra… Economisant les grammes ou pas !
Peu s’en soucieront, mais qu’importe, je l’aurais dit…
Mais rappelez-vous cet adage des anciens, « un gramme de trop à l’arrière vaut cinq grammes de plus à l’avant ».
Bon courage…
Surtout en bois dur, il n’y aurait pas photo…
Pour un avion de 1,50 m des baguettes de 2 x 8 et 2 x 6 assemblées en équerre donneraient 8 x 8 en équerre, soit un équivalent 6 x 6 (type Baron) extrapolable en 3 x 12, 4 x 16 etc. Ce qui, pour un Baron de 3,20 m serait suffisant, plus facile à travailler, et surtout moins lourd.
En cas de réparations, ce serait aussi plus facile, avec une baguette collée dans l’angle, ou un jonc de carbone… Ce serait, au moins pour moi, aussi plus intéressant à concevoir et appliquer (même à un plan existant), car il y aurait beaucoup à gagner…
Au-delà, tout compte, ne pas surdimensionner le moteur, le réservoir (ou les batteries), les servos la radio, toutes les tringleries (à ce propos les câbles en aller/retour sont plus légers et plus efficaces), mais aussi les guignols, et tout l’accastillage (d’ailleurs il vaut mieux souvent les réaliser soi même, comme les guignols en epoxy 10 ou 15/10)
Le multi longeron, même petit et sous un coffrage, et toujours préférable au longeron unique ! La souplesse évolutive d’une aile ou même d’un longeron est toujours préférable à la rigidité. Cette souplesse ne doit pas pour autant dépasser les limites d’élasticité, ni engendrer des phénomènes de « Flutter » par un compromis hatif entre l’aérodynamique et l’élasticité (phénomène de résonnance), qui peut se révéler dévastateur (jusqu’à la perte de gouvernes ou de morceaux d’ailes, et ça m’est arrivé) !
Bien sûr à partir de cette réflexion, et de ces expériences, chacun l’interprètera comme il le voudra… Economisant les grammes ou pas !
Peu s’en soucieront, mais qu’importe, je l’aurais dit…
Mais rappelez-vous cet adage des anciens, « un gramme de trop à l’arrière vaut cinq grammes de plus à l’avant ».
Bon courage…