L’aile, se
construit pratiquement comme avant sauf pour un petit gros qui utilisera
des longerons en T en bois lamellé collé de 1,50 m et des ailes en 2 parties !
La
partie centrale est simplifiée avec un simple V, mais demande du soin pour les
ajustages, et doit être aplanie dessous par ponçage, et dessus par un simple
coffrage 15/10 tendre, légèrement poncé sur les nervures N1 pour faciliter
l’entoilage.
L’aile
doit garder une souplesse évolutive, mais peut être renforcée dans son premier
tiers, par des rectangles balsas 15/10 travers, collés entre chaque nervures
après les clés en CTP 20/10.
Par
la suite, sur le deuxième tiers, une baguette 15/10 x 8 suffira, après plus
rien. La rigidité en torsion est assurée, en principe, par les haubans, quand
ce n’est pas des élastiques mais des câbles VCC, mais vous pouvez aussi placer
quelques baguettes 4 x 4 en diagonale entre chaque nervure du premier tiers de
l’aile comme sur le premier Baron
Partie centrale de l’aile :
Le dessus du centre de l’aile est épaissi, mais le dessous est diminué par ponçage pour que l’aile soit plate.
Elle est fixée sur le fuselage par 3 vis nylon de diamètre 4 mm.
Pour les haubans, je préfère de beaucoup les câbles VCC.
Il suffit de prévoir des attaches simples et un démontage facile de l’intrados, une vis de chaque côté au niveau fuselage !
Si le train est démontable, on peut utiliser une petite vis du train pour fixer une simple cosse électronique dans laquelle les câbles seront sertis et soudés.
À ce propos, vous avez intérêt à verrouiller le train par une plaque en balsa dur 20/10 en travers du train (ou un sandwich balsa 15/10-CTP 5/10) qui fera fusible en cas de choc, en évitant de casser autre chose…