Ici c’est du thermique, droit sur le
côté, inversé, vous avez le choix, pour ma part je préférais l’inversé, car je
n’avais pas de soucis, avant, pour les démarrer !
Question de méthode, de réglages et encore
de pratique sans doute…
L’électrique semble plus propre et
plus faile à mettre en œuvre, le poids est plus constant aussi, (réservoir), mais les contraintes sont
aussi nombreuses et le coût de départ peut être plus élevé. En revanche sur un
petit modèle, moins de 1,40 m, l’électrique domine désormais…
Parlons ici des accessoires, leur
poids finit par s’ajouter, le réservoir et ses accessoires, les vis plus ou
moins longues et grosses, les guignols, le pilote, les mats, etc. D’où la
nécessité d’une bonne balance et d’un peu d’imagination. Mais c’est cette
recherche, ce but de tout les instants, qui fait la saveur de ce temps passé à
construire…
Sinon ce n’est qu’une contrainte, et
on finit par acheter un RTF !
Tous thermiques !
A cette époque…
D’abord, nous n’avons pas besoin
d’autant de puissance sur tous les servos. Le moteur par exemple, il se
contentera d’un servo de 10 g pour les gaz, si la commande est libre (J’utilisais du cable Bowden sous gaine, et
le circuit le plus direct possible, avec des pièces mécanique bien rodées).
Les ailerons étant commandés par deux
servos, des servos de 10 à 16 g suffisent, mais là encore les charnières
doivent être très libres (un test simple consiste à débrancher la gouverne, elle
doit tomber par son propre poids, si ce n’est pas le cas, revoyez votre copie).
Seul le servo de
direction est beaucoup solicité et devra être un peu plus gros, surtout en 2
axes !
J’utilisais en plus des commandes par
cables en aller retour (cables VCC),
c’est léger, efficace et joli, nous en reparleront !
Pour la profondeur, c’est un peu
comme les ailerons (la sécurité voudrait
qu’on en utilise 2, un par volet), sinon un servo de bonne qualité
intermédiaire fera l’affaire, car les débattements sont faibles… En revanche
là, il vaudra mieux utiliser des tiges de commandes, ou des gaines plastique,
mais le plus droit possible, c’est faisable et l’on obtient moins de
frottements. Sur un petit gros ils seront dans le stab, un par volet !
Pour ma part, j’utilisais des servos
de 10 g (de qualité) et un servo de
16 g, mais commandes et gouvernes étaient très libres… En fait, la base c’est,
poids, robustesse, fiabilité, car sur un Baron, précision et vitesse sont secondaires
à l’inverse du multi !
Pour les batteries, maintenant il
existe des lipo spéciales réception plus performantes, mais il faut au
préalable vérifier la compatibilité avec votre matériel ?
Les récepteurs : Certains sont
très performants, mais en avez-vous besoin ? Pour voler dans un rayon de
500 m… Il en existe plusieurs, entre 10 et 15 g qui feront parfaitement
l’affaire, le reste c’est du poids inutile. En plus je n’aimais pas démonter
mes équipements, alors j’en ai essayé plusieurs, laissés à demeure…
Pour le moteur, électrique ou pas,
nous pourrions disserter pendant des heures et aujourd’hui la puissance abonde
et conduit à tout les excès dans l’un comme dans l’autre, personnellement
j’aime autant les deux quand ils sont bien utilisés !
Pour un Baron, l’important c’est de tourner une grande
hélice à petit pas, pas trop vite, mais avec un couple élevé a un régime,
justement, pas trop élevé ! Le bruit sera meilleur, le confort
de pilotage aussi !
Quand vous aurez piloté, un vrai
Baron de moins de 1,2 kg, vous me comprendrez peut être, et même avec un vent
de 30 km/h, car il reste pilotable, au-delà, ce n’est plus de l’avion…
Tout les gouts sont dans la nature,
et les Coupes des Barons le montrent, ici Ste Marie d’Alloix (près de Grenoble)
en 2011…